Travestissements et douches

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il y a 5 ans

Ma femme étant partie quelques jours j'ai pu faire venir à la maison un correspondant, Jean, marié, 50 ans, avec lequel j'avais découvert des goûts communs, notamment ceux de la bisexualité et travestissement.

Avant de venir nous avions décidé de nous raser tous les deux entièrement : jambes, cuisses, pubis, couilles et cul car nous voulions nous travestir et nous transformer chacun(e) en pute et tant pis pour ce que pourraient dire nos femmes. Peut-être même que cela les exciterait de nous voir entièrement rasés... Je rasais bien de temps en temps la chatte de ma femme, la trouvant ainsi plus sexy à regarder...

Jean est arrivé apportant un gros sac d'où il a sorti une vidéo porno que j'ai visionnée en me masturbant pendant qu'il se préparait dans la salle de bains, ce qui dura un long moment. Quand il me fit savoir qu'il avait terminé, j'allais dans ma chambre sans le croiser pour me préparer à mon tour. Je mis un body noir, des bas résille noirs, un slip brésilien noir en lycra bordé de rouge, une nuisette noire transparente, une perruque, des escarpins puis je me maquillais les yeux et les paupières, poudrais mes joues et mis du rouge à lèvres, un collier et des escarpins à talons. Je me regardais dans l'immense porte glace de notre armoire et je ne me reconnus pas! C'est dans cette tenue que je rejoignis Jean dans le living en m'étant auparavant mis un bandeau autour des yeux car je voulais le découvrir petit à petit.

Jean regardait la vidéo en m'attendant. J'arrivais en tâtonnant près de lui et je me mis à genoux entre ses jambes. Il continua à regarder la vidéo pendant que mes mains commençaient à courir sur son corps. Je compris qu'il avait mis un chemisier et une jupe que je dégrafai sur le côté pour lui enlever. En le caressant, je devinai qu'il portait un porte-jarretelles et des bas fins, une culotte en coton dont le tissu était tendu à cause de son clito qui bandait déjà à moitié.

Je commençai par le caresser à travers le tissu puis plongeai ma tête entre ses cuisses pour respirer son odeur et la lécher à travers le tissu. Au bout d'un moment Jean appuya ma tête contre son clito et me dit:

"Lèche, ma chérie...C'est bon...Je suis ta maîtresse, Clara, et tu vas m'obéir....Tu vas maintenant sucer mon clito, mais auparavant tu vas baisser ma culotte de femme seulement avec tes dents, sans les mains que je vais t'attacher derrière le dos."

Ce qu'il fit immédiatement. Je dus prendre l'élastique de sa culotte avec les dents et la tirer vers le bas, ce qui se fit avec difficulté compte tenu que son clito bandant tendait de plus en plus le tissu, l'empêchant de glisser. Clara m'aida dans cette entreprise et bientôt je sentis son clito chaud décapuchonné se promener sur mon visage puis se poser sur mes lèvres que j'ouvris tout de suite pour l'engouffrer dans ma bouche.

Je sentis à la grosseur de son clito que Clara avait un sexe superbe. Elle serra ma tête entre ses mains et s'enfonça d'un coup son gros clito dans ma bouche jusqu'à la luette commençant un lent mouvement de va et vient comme si elle baisait un con. Ma langue l'entoura pour le lécher avec application, les mains toujours liées. Je l'entendis soupirer et me dire:

"Vas-y, ma chérie, lèche, suce, pompe, bouffe mon gros clito de travesti..."

Je continuai à pomper son gros bouton qui m'excitait terriblement et que je voulais maintenant voir, saisir et branler. Je finis par me défaire du cordon qui attachait mes mains, défis mon bandeau et saisis sa grosse tige d'une main tandis que je caressais ses couilles de l'autre. Clara avait un clito splendide, épais et long 20 cm au moins et d'un diamètre d'environ 5 cm. Un mets de choix! Elle bandait maintenant à fond, pointant son bouton décalotté vers le plafond. Je me remis à le bouffer et glissais une main sous ses fesses pour insinuer un doigt dans sa raie et l'enfoncer dans sa chatte en lui imprimant aussi un mouvement de va et vient. Clara souleva ses fesses pour mieux sentir ce va et vient et dit:

"Baise-moi, encule-moi, troue-moi, lime-moi...fouille mon cul de chienne...que c'est bon...avec ta langue sous mon gland...quelle jouissance!"

J'arrêtai au bout d'un moment et l'invitais à aller continuer dans ma chambre qui dispose d'un très grand placard avec des portes en glace. Une fois dans la chambre, ma maîtresse sortit de son sac un magnifique slip noir brésilien transparent en dentelle:

"Tiens, je t'ai apporté le slip de ma femme comme tu me l'as demandé. Elle l'a mis hier toute la journée et je me suis arrangé pour qu'elle mouille dedans. Je l'ai embrassée en lui caressant la chatte avec ce slip. Quand j'ai senti qu'elle mouillait, j'ai caressé sa motte enfonçant profondément le tissu dans son vagin pour qu'il s'imprègne de son jus. Je lui ai aussi enfoncé un doigt dans le cul avec le tissu. Je l'ai masturbée en règle ainsi jusqu'à ce qu'elle jouisse. Elle s'est même mise à crier pendant son orgasme, trempant ainsi le tissu à l'endroit de son entrecuisse. Elle mit le slip dans le panier à linge sale après que je l'ai baisée. Je l'ai récupéré ce matin pour toi."

Rien ne pouvait m'exciter autant que de tenir ce slip que j'ouvris pour constater de belles tâches blanches de cyprine à l'intérieur. Je portai le tissu de l'entrejambes à mon nez pour chercher à respirer cette odeur de femelle dont je trouvai des remugles. Quelle excitation! Ce fut à mon tour de bander comme un âne, surtout lorsque je me mis à lécher avec avidité ces auréoles de jus laissées par une cramouille juteuse.

Clara se régalait du spectacle et dit: "Et moi alors, je n'ai droit à rien? Donne-moi des slips de ta femme, des slips propres. Je vais les porter et essuyer mon gros bouton dedans. Quand elle les portera, tu penseras que l'endroit en contact avec sa moule l'a été aussi avec ma bite."

Cette idée m'excita et je pris 3 slips propres dans l'armoire de ma femme que Clara mit l'un après l'autre après avoir longuement pressé son gland pour en sortir quelques gouttes de liquide séminal pour ensuite l'essuyer sur le tissu de l'entrejambes pendant que je continuai à lécher avec avidité ce même endroit du slip de sa femme. Puis j'ôtai mon slip pour le mettre celui de sa femme et faire comme lui. En nous regardant dans la glace, habillé(e)s de nos sous vêtements féminins sexy, frotter nos clitos dans les slips de nos femmes respectives, nous nous sommes senti(e)s tout(e)s les deux comme des putes perverses. Une vraie jouissance cérébrale!

Je décidais à mon tour de prendre les opérations en main et dis à Clara:

" Mets-toi en levrette sur le lit et ouvre ton cul que je lèche ta chatte de pute" car j'adore bouffer un cul.

Elle s'exécuta tout de suite, écartant ses jambes, montrant ses grosses couilles pendantes et ses fesses pour dévoiler son trou étoilé que je me mis à lécher lentement en passant ma langue tout le long de sa raie puis en m'attardant sur l'oeillet jusqu'à enfoncer le bout de ma langue dedans. Clara était aux anges car jamais on ne lui avait fait une feuille rose. Elle était terriblement excitée et me dit :

"Allez, lèche, lèche, salope, bouffe mon cul...Que c'est bon! Quelle traînée tu es!...Continue...oh que c'est bon!...TU vas me faire jouir, sale pute...Je sens le jus monter des couilles...

Je m'installais sous lui, allongé sur le dos, pour former un 69 et continuer à lui bouffer le cul tandis qu'il se mettait à me lécher les couilles et l'entrecuisse avec un art consommé qui me mit dans un terrible état d'excitation. Je sentis que nous étions sur le point de jouir et lui dis:

"Viens au dessus de ma figure, je vais branler ta bite pour que tu arroses le visage et la tête de ta cyprine.

Clara s'assit sur ma poitrine. J'attrapais son clitounet qui bandait fièrement au-dessus de moi et le branlais de plus en plus vite jusqu'à ce que je sente plusieurs giclées de cyprine chaude m'atterrir sur la face. Il en avait plein les couilles et m'inonda littéralement la tête. Me voir ainsi l'excita et il se pencha sur moi pour commencer à lécher sa semence. Mais je préférais sentir son jus me couler dans le cou, alors, je me levai pour aller me regarder dans la glace mais je ne vis rien car j'avais les yeux collés par sa semence. Je restais debout sans voir mais sentant le foutre de Jean dégouliner le long de mon corps. C'est alors que l'idée me vint de me mélanger son jus au mien. Je m'allongeais à nouveau sur le dos et, comme il m'arrive parfois, je mis mes genoux sur mes épaules et commençai à branler ma bite, cette fois-ci, au dessus de ma figure. Clara, en me voyant dans cette position, le cul relevé, m'enfonça d'abord un doigt dans le cul puis me dit:

"Attends me dit-elle. Je vais te labourer le chatte"

Elle prit un gode à proximité, l'enduit de lubrifiant puis le présenta à l'entrée de ma rondelle. Elle poussa doucement jusqu'à l'enfoncer à fond et le faire aller dans un va et vient de plus en plus rapide qui se synchronisa rapidement avec celui de ma main masturbant ma queue..: jusqu'au moment où mon foutre se mit à jaillir en m'inondant une deuxième fois. Je me mis à mélanger frénétiquement les deux spermes jusqu'au moment où Jean me dit:

"T'es vraiment une pétasse comme je n'aurais pas cru... Puisque tu aimes te faire arroser, viens sous la douche, je vais te pisser dessus."

Je ne me le fis pas dire deux fois et dès que je fus sous la douche, Clara me dit:

"A ton tour de te mettre en levrette...écarte tes fesses. Je vais te pisser dans la raie du cul."

Je sentis son liquide chaud couler sur mes fesses et dans mon cul. C'était bon mais Jean me dit:

"Retourne-toi, catin...maintenant c'est ta figure que je vais arroser"...Je lui obéis...

C'est couvert(e) de foutre et de pisse que je pris ma douche avec elle où, à mon tour, je l'inondai de pisse en tournant autour d'elle après l'avoir fait mettre à genoux au milieu de la salle de bains.

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